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Aujourd'hui

La cour de la ferme actuelle est typique des clos-masures de notre région. La maison de la ferme est au centre d'une cour rectangulaire bordée de talus plantés de hêtres,  les bâtiments de l'exploitation répartis à la périphérie le long des talus. L'ancienne bergerie est transformée en marché de nos fruits et légumes et d'autres produits des fermes; ouvert tous les jours. La charreterie héberge des véhicules à moteur. Une grange, les écuries et une porcherie existent encore. Le pigeonnier et les étables sont détruites. Le manège et une grange attenante ont disparus dans un incendie en 1950. Les pommiers à cidre ont fait place aux arbres fruitiers.

1616

A l'origine en 1616 avant de devenir au fil des siècles une ferme typique de notre région, elle était un lieu de passage obligatoire. Sorte de douane. Au 20 ème siècle beaucoup de personnes vivaient sur la ferme, directement : berger ,vacher, palefrenier ....ou indirectement . Une grande partie de la production était consommée sur place ou vendue sur les marchés proches.

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 1945

En 1945  Jean Leforestier, fermier en place, introduit et développe la mécanisation agricole. Et 15 ans plus tard, il oriente partiellement  la ferme vers les plantations fruitières.

Nos cultures actuelles sont à regrouper en quatre catégories: les cultures de plaine, les légumes de plein-champ, les vergers, et la cueillette avec les fruits rouges, le maraîchage et les fleurs.

LA  PLAINE

La plaine::cette partie de la ferme échappe à notre philosophie actuelle. Nous produisons du blé, du lin, du colza, du pois, des féveroles... l'ensemble des cultures de notre région. Celles-ci sont soumises à déclaration PAC (Politique Agricole Commune) nous n'avons aucun contrôle sur les prix de vente, fluctuants suivants les cours mondiaux dépendants des bourses, terrains de jeux des traders, et compensés par des subventions européennes. Les consommateurs de nos produits nous sont inconnus.

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1990
ouverture aux particuliers

Depuis les années 1990 devant l'impossibilité de valoriser nos récoltes de pommes par les circuits de distribution classiques, j'ai fait le choix de garder le contrôle de notre production jusqu'à l'utilisateur. Cette décision a imposé l'arrachage d'une partie du verger. Aujourd'hui une petite moitié de la surface cultivable de la ferme est tournée vers le circuit court. Cette orientation lorsqu'elle est possible (notamment en fonction du bassin de population ) me paraît être l'élément déterminant, si l'on souhaite pousser, dans l'intérêt de nos consommateurs locaux, le plus loin possible les techniques de production vers une agriculture durable. C'est un travail laborieux et complexe, les techniques les plus durables, étant toujours plus chères sur le court terme. C'est pourquoi le contrôle du prix de vente est indispensable, si l'on veut savoir jusqu'où il est raisonnable de s'engager techniquement, (volet économique de l'agriculture durable).

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Légumes
De plein champ

Les légumes de plein champ: poireaux, carottes, choux, céleris, betteraves... Ces légumes sont récoltés pour nos clients et mis à disposition au marché de la ferme. Ces légumes sont exclusivement réservés à nos clients qui viennent s'approvisionner à la ferme. A chaque excès de production ce sont eux qui bénéficient de prix attractifs pour leurs achats en quantité.

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2017
conversion des vergers en bio

Les vergers: pommiers, poiriers et pruniers. La pomme est cultivée depuis 1957. Ce passé permet d'avoir suffisamment de recul sur l'ensemble des techniques arboricoles et de prendre les bonnes orientations à chaque étape de la production. Le verger est conduit en agriculture biologique pour 75 % de la surface, le reste est en conversion. Beaucoup d'articles sont consacrés à ce sujet dans notre blog (volet environnemental de l'agriculture durable), nous souhaitons partager nos expériences afin d'informer nos clients,  susciter l'échange avec les professionnels ou les particuliers et participer à notre échelle aux développements des voies durables.

MARCHé
DE  LA FERME

Le marché de la ferme est installé dans l'ancienne bergerie. Dans un premier temps dans les années 1990

il a été ouvert 2 jours par semaine pour proposer à nos clients les fruits du verger de septembre à mai.

Ensuite, à la demande de nos clients, nous avons commencé à proposer d'autres produits,

venant d' agriculteurs de la région, pour les volailles par exemple ou de producteurs implantés dans des territoires reconnus comme pour les noix.

Progressivement, notamment par l'augmentation en été de la fréquentation par l'activité cueillette en libre service, nous avons fidélisé nos clients sur toute l'année et augmenté la gamme disponible; en privilégiant toujours le rapport qualité/prix  et en restant dans une présentation simple. 

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 2000
création de la cueillette

La cueillette: ouverte en l'an 2000. Avec cette activité (18 hectares de cultures ) nous avons ouvert nos champs au public . C'est en 1999 qui nous avons introduit sur la ferme la culture de la fraise et des fruits rouges et en 2000 le maraîchage. Nos techniques de production de pleine terre sont clairement exposées dans notre charte, elles vous garantissent la qualité de nos aliments.

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OUVERT
TOUS LES JOURS

Ouverts toute l'année, nous recevons un public nombreux. L'intérêt que portent nos clients aux aliments que nous proposons, en venant jusqu'à nous est très valorisant pour toute l'équipe de production et de vente, et nous conforte sur notre rôle social, (troisième volet de l'agriculture durable). Nous les remercions vivement d'accompagner notre démarche.

 

 

A bientôt à la ferme, Benoist Leforestier, agriculteur responsable de la ferme des authieux.

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